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cachetiers@chez.com
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UN CACHET,
DEUX ASPIRINES...
Journal
d'informations pour cachetiers effervescents
Janvier
1998
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BERNARD LIOT... FAIT DU
YOYO!
A prendre les autres pour des guignols, on finit par
être drôle soi-même!
Bernard Liot a fait le choix, c'est son choix, de redevenir
volontairement selon ses propres souhaits, après
avoir réfléchi et pris une décision
sans appel dont il porte seul la responsabilité et
qui le concerne... Quoi? Non non non, c'est lui qui a
voulu... de redevenir... ... ... oui, directeur de radio
locale (ah, les chiens!). Il avait manqué certains
éléments du paysage, alors il s'est remis
directeur. On a bien le droit de faire plusieurs parties,
non? Et pis tout n'est pas perdu. Sans compter le
réseau, qui a beaucoup progressé quand il
était en fonction (saltimbanques du micro...
travaillez, il m'en restera toujours quelque chose!), une
armée de responsables des programmes lui doivent leur
poste.
Vu que Monsieur Arc-en-Ciel garde ses costumes, on le
reverra peut-être un jour chef de quelque chose.
LES ANCIENS VONT
BIEN
- Emmanuel FOISSOTE ex-relais de
l'association qui avait entamé avec ses
collègues de RF SAVOIE une procédure en
requalification, avant de finalement quitter RADIO FRANCE en
juin 1996 pour le privé (un peu lassé! Il est
vrai...), anime aujourd'hui le 20 heures/ minuit d'NRJ
(Paris, programmes nationaux). On peut le retrouver sur NRJ
du lundi au vendredi dans "Tribal Party".
- Après avoir dû quitter RADIO
FRANCE, Gwenola DECHELLE,
Vice-Présidente de la Société des
Cachetiers présente, depuis la rentrée,
"L'heure des sorties" chez Jean-Luc DELARUE, sur FRANCE 2.
En juin 96, Gwenola avait appris de son directeur qu'elle ne
collaborerait plus à l'antenne de RF NORMANDIE-
ROUEN. C'était 3 mois après que vous l'ayez
élue Vice-Présidente de la
Société des Cachetiers! Devenue soudainement
brebis noire, Daniel DELOIT, directeur de RF NORMANDIE-
ROUEN avait trouvé ces mots tendres pour lui
signifier son renvoi (en Lettre Recommandée avec
Accusé de Réception):
"En septembre 1995, (...) nous vous
avons renouvelé notre confiance en vous proposant
l'animation de la tranche 9h00-11h00, du lundi au vendredi.
A l'époque, nous avions en particulier insisté
sur la nécessité d'améliorer votre
voix, votre écriture et votre rythmique d'antenne. Il
semblerait que vous soyez restée imperméable
à ces recommandations, dans la mesure où,
malgré les remarques et les conseils largement
répétés de votre responsable des
programmes et la participation à un stage "Voix et
Ecriture" à Melun, nous n'avons enregistré
aucun progrès notable à
l'antenne".
Voilà pour la méthode. Gwenola DECHELLE,
sortie du réseau, assumait malgré tout son
mandat de Vice-Présidente et avait participé
à la Convention Nationale des cachetiers
organisée en novembre 1997 à Valence.
Remerciée trop tardivement pour chercher ailleurs,
elle a vécue une année de chômage
difficile. Pas à cause du chômage, qui peut
frapper n'importe qui, mais essentiellement des ennuis
incroyables rencontrés aux Assedics. Problèmes
de feuilles jaunes et d'intermittence du spectacle à
n'en plus finir.
Pour présenter les sorties ciné,
théâtre, concerts... dans "C'est toujours
l'heure", Gwenola a signé chez Réservoir
Productions... un CDI !
MANUEL D'HISTOIRE
(...)
Mai 1997: Jacques CHIRAC, alors Président de la
République, dissoud l'Assemblée Nationale.
Juin 1997: Michel BOYON, alors Président de Radio
France, crée le MOUV'.
UN FANTOME NOMME
JEAN-PIERRE
On a retrouvé au coeur de la maison de la radio
des gardiens de nuits prostrés, les yeux grands
ouverts, incapables de mouvements. Certains cachés
dans les ascenseurs. D'autres enfermés à
double tour aux archives.
Ils prétendent tous avoir été victimes
d'un drap blanc qui se promène la nuit dans les
couloirs déserts de l'immeuble. Un fantôme
nommé Jean-Pierre. Les témoignages convergent
(c'est dégueulasse et pourtant ils convergent!). Cet
esprit malin se jette d'abord brutalement sur eux, puis fait
le geste de les ... ... ... avec une bouteille de Nuit
St-Georges 1989 - un fameux- en criant à fond:
"j'étais une légende de la radio. Putain,
dites que j'étais une légende de la radio".
L'agression dure généralement plusieurs
minutes. Jean-Pierre (le prénom est cousu de fil
blanc sur son drap) s'éloigne ensuite en marmonnant
"Bandes d'ingrats. J'ai rien fait mais j'ai duré,
moi. Pas comme tous ces jeunes cons. De toute façon
pour durer dans mon métier, fallait surtout rien
faire malheureux! Z'ont rien compris. J'ai posé des
radios partout. C'est grâce à moi. Et j'ai
duré... qu'est-ce que j'ai duré. J'ai
vachement duré. J'ai la légende vivante,
hic... peuvent pas me la retirer..."
Une enquête est en cours.
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