Les directions
locales ainsi que les responsables des
programmes "râlent" souvent contre
l'accord d'entreprise, le jugeant inaplicable,
notamment pour les congés. Ainsi ce qui
fonctionne parfaitement depuis des lustres pour
les autres catégories de personnels ne
pourrait fonctionner pour les Parl. Tout cela
est faux.
Voici en avant
première les recommandations de la
direction pour l'application de l'accord. Les
directions locales vont recevoir fin octobre
"une bible" rassemblant tous les cas de figure
et proposant à chaque fois une
solution.
La commission a
rappelé les principes de l'accord,
remplacement d'un CDI par un CDD de droit
commun. Elle a admis qu'il pouvait être
fait appel à des
intermittents
du spectacle
remunérés au cachet. Les membres
de la commission ont demandés à la
direction que ces cachets puissent être
négociés de "gré à
gré".
Les
remplaçants en CDD de droit commun
percevront un défraiement
de 250
à 300 frs par jour dans la limite d'un
mois, comme les autres personnels. Ils auront
droit aux tickets restaurant sur toute la
durée de leur remplacement.
Pour le
remplacement de PARL par des PARL à temps
partiel, un avenant
à leur
contrat
limité dans le temps jusqu'à
l'équivalent d'un temps plein payé
au taux horaire du remplaçant leur sera
proposé.
Pour les temps
partiels qui dépassent un temps plein
lors d'un remplacement, ou pour les temps
complets qui font plus de 39h, un proposition de
rétribution soit par un
cachet
exceptionnel
ou une prime exceptionnelle est à
l'étude.
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